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Ceux que l'on aime, on ne doit pas épargner le dur labeur.
A ceux que l'on estime, on ne doit pas épargner les critiques
Appliquez-vous à garder en toute chose le juste milieu.
Après une faute, ne pas se corriger, c'est la vraie faute. »
Autrefois, on s'instruisait pour soi-même.
Aujourd'hui, c'est pour en imposer aux autres.
Celui dont la pensée ne va pas loin verra ses ennuis de près.
CELUI QUI AJOUTE de NOUVELLE CONNAISSANCE
AUX ANCIENNES EST LE VERITABLE ENSEIGNANT
Celui qui comprend son devoir et ne le remplit
pas est un lâche.
Celui qui est respectueux sans mesure est fatigant.
Celui qui est franc sans mesure est insolent. »
Celui qui est sévère envers lui-même et indulgent envers les autres évite les mécontentements. »
Celui qui sait obéir saura ensuite commander. »
Choisissez un métier que vous aimez et vous n'aurez plus à travailler un seul jour de votre vie !
Dans tout ce que tu veux faire, il y a ceux qui aimeraient le faire, d'autres qui veulent faire le contraire et ceux qui ne feront jamais rien
Des habitudes viennent les différences.
Tous les hommes pensent que le bonheur réside au sommet de la montagne alors qu'il se trouve dans la façon de la gravir
Savoir que l'on sait ce que l'on sait, et savoir que l'on ne sait pas ce que l'on ne sait pas :
voilà la véritable intelligence. savoir écouter est le début de la connaissance.
Qui ne connaît la valeur des mots ne saura connaître les hommes.
Lorsque les mots perdent leurs sens, les hommes perdent leur liberté.
Notre plus grande gloire n'est pas de ne jamais tomber, mais de nous relever chaque fois que nous tombons.
L'homme de bien est droit et juste, mais non raide et inflexible,
Il sait se plier mais non se courber.
L'adaptation et la souplesse sont indispensables pour
faire entendre la voix douce mais ferme du Bien.
CONFUCIUS
http://mecaniqueuniverselle.net/textes-philosophiques/confucius-2.php
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Le père Noël est généralement reconnu et célébré dans la plupart des pays européens et américains.
Ailleurs, celui qui distribue les cadeaux durant les vacances d'hiver, incluant le nom, l'apparence, l'histoire, et la date d'arrivée, varie grandement.
En Amérique latine, il est généralement désigné sous le vocable
« Papá Noel », mais cette appellation subit quelques variations dans certains pays.
En Europe, les rituels liés à l’approche de l’hiver sont ancestraux.
Au Moyen Âge, l’Église catholique décide de remplacer les figures païennes par des saints[réf. nécessaire].
Par le nom de « saint Nicolas », elle désigne Nicolas de Myre, un personnage qui vécut au IVe siècle au sud de la Turquie actuelle près d’Antalya, contemporain de la dernière vague de persécutions et du concile de Nicée, moment important du christianisme.
Le conservateur et responsable du département d’information numérique au Musée copte, Hani Zarif, affirme« Papa Noël, connu sous le nom de Santa Claus, est une vraie personnalité historique ».
C’est l’évêque de Myre né vers la fin du IIIe siècle en Lycie, au sud de l’actuelle Turquie. Possédant un héritage important, il distribuait les cadeaux et la nourriture aux pauvres et aux familles modestes pendant la nuit, anonymement.
Ainsi il tentait de récupérer le mythe du Santa Klaus scandinave laique à des fins religieuses. Ce qui n'aura de cesse pendant des siècles.
Lors des Croisades, au XIe siècle, sa dépouille est volée par des marchands italiens, mais ils laissent sur place un morceau de crâne et de mâchoire.Les reliques sont transférées à Bari, en Italie.
Un chevalier lorrain aurait aussi récupéré une de ses phalanges et l’offrit à l’église de Port. Devenue lieu de pèlerinage, la ville est alors rebaptisée Saint-Nicolas-de-Port. Saint Nicolas devient le saint patron de la Lorraine.
En 1477, le duc de Lorraine, René II, lui attribue sa victoire contre Charles le Téméraire3. Par la suite, sa légende sera reliée à la Nativité.
Il deviendra dans presque toute la France « Papa Noël »
soit « Père de la Nativité ».
Á Bari en Italie, la relique aurait produit des miracles.Selon une légende, il aurait ressuscité trois enfants découpés par un horrible boucher. Il est alors présenté comme le saint protecteur des tout-petits.
C’est pourquoi, en sa mémoire, le 6 décembre de chaque année, principalement dans les pays d’Europe du Nord et de l’Est (notamment dans l’Est de la France en Alsace, à Metz, à Nancy et à Saint-Nicolas-de-Port), la coutume veut qu’un personnage, habillé comme on imaginait que saint Nicolas l’était (grande barbe, crosse d’évêque, mitre, grand vêtement à capuche), va alors de maison en maison pour offrir des cadeaux aux enfants sages.
Au XVIe siècle, la légende du saint s’enrichit avec le personnage du père Fouettard qui punit les enfants désobéissants (selon certaines traditions, celui-ci serait en fait le boucher de la légende).
En France, à partir du XIIe siècle également appelé, le vieux qui présidait ce cortège, est par la suite appelé « Noël ».
En Asie, certains pays, particulièrement ceux qui ont adopté la culture occidentale, célèbrent également Noël et le distributeur traditionnel de cadeaux.
Certains pays perpétuent Noël en tant que tradition (spécialement pendant les vacances), comme Hong Kong, les Philippines, le Timor oriental,
la Corée du Sud, la Malaisie, Singapour, l'Inde, et les communautés chrétiennnes d'Asie centrale et du Moyen-Orient. Les chrétiens d'Afrique et Moyen-Orient perpétuent la tradition de Noël depuis le XIXe siècle et
le XVIe siècle.
Les descendants perpétuent la tradition de leurs ancêtres.
- Afrique du Sud : Vader Kersfees ou Kersvader en Afrikaans; Father Christmas ou Santa Claus / Sinterklaas
- Albanie : Babagjyshi i Krishtlindjeve (« Grand-père Noël ») ; Babadimri (« Grand-père Hiver »)
- Algérie : Baba Noel ; en Kabylie et dans les régions berbérophones : Vava Massilul ou Vava nuwal ; bien que l'Algérie soit principalement musulmane, certains foyers kabyles perpétuent la tradition de Massilul et de l'arbre de Noël (ou de la nouvelle année)
- Allemagne : Weihnachtsmann (« Homme-noël ») ; Christkind, au sud du pays
- Arménie : Ձմեռ Պապիկ (Dzmer Papik « Grand-père Hiver »)
- Australie : Santa (le plus populaire) Santa Claus ou Father Christmas (« Père Noël »)
- Autriche : Christkind (textuellement « Enfant-Christ », que l'on traduit en fait par l'Enfant Jésus mais qui, paradoxalement, est représenté par une jeune fille portant une couronne)
- Azerbaïdjan : Şaxta Baba
- Belgique : Père Noël ou Papa Noël (français) / Kerstman (néerlandais)
- Bosnie-Herzégovine : Djeda Mraz (« Grand-père Hiver »)
- Brésil : Papai Noel ; Bom Velhinho (« Bon vieil homme »)
- Bulgarie : Дядо Коледа (« Grand-père Noël »), Дядо Мраз (« Grand-père Frost ») depuis l'époque socialiste, peu employé
- Canada : Santa Claus (Anglais), Père Noël (Français)
- Chili : Viejito Pascuero
- Chine : 圣诞老人 (Shèngdàn lǎorén, « Le vieil homme de Noël »)
- Corée du Sud : 산타 클로스 (Santa Kullosu), 산타 할아버지 (« Grand-père Noël »)
- Croatie : Djed Mraz (« Grand-père Gel ») ou Djed Božičnjak (« Grand-père Noël »)
- Danemark : Julemanden
- Égypte : Papa Noël (Arabe : بابا نويل Baba Noel, du turc Noel Baba)
- Espagne et certains pays d'Amérique latine espagnols : « Papá Noel », « San Nicolás » ou « Santa Claus » ; Bizarzuri (basque) ; Pare Noel (catalan). Les rois mages également le 6 janvier.
- Estonie : Jõuluvana
- États-Unis : Santa, Santa Claus ; Kris Kringle ; Papa Noël (dans le sud de la Louisiane), Saint Nicholas, Saint Nick ou Father Christmas
- Finlande : Joulupukki
- France : Père Noël ou Papa Noël ; Paire Nadau (occitan) ; Tad Nedeleg (breton) ; Bizarzuri (basque) ; Père Chalande (arpitan) ; Babbu natale (corse)
- Géorgie : თოვლის ბაბუა, თოვლის პაპა (Tovlis Babua, Tovlis Papa « Grand-père neige »)
- Grèce et Chypre : Άγιος Βασίλης (« Saint-Basil »)
- Hongrie : Mikulás (« Nicholas ») ; Télapó (« Le Père Hiver ») ; Jézuska ou Kis Jézus (« Petit Jésus »)
- Îles Féroé : Jólamaðurin
- Inde : Jingal Bell, Santa Clause, Thatha (« Vieil homme de Noël »), Natal Bua
- Irak : Baba Noel, du turc Noel Baba
- Iran : Baba Noel, du turc Noel Baba
- Irlande : Santa Claus, Santy ou Daidí na Nollaig (« Père Noël »)
- Islande : Jólasveinn ou Yule Lads
- Israël : סנטה קלאוס (« Santa Klos »); bien que le pays, de tradition juive, ne fête pas Noël, les Arabes chrétiens le font : (ar) بابا نويل (« Baba Noel ») ou سانتا كلوز (« Santa Klawz »)
- Italie : Babbo Natale (« Père Noël ») ; L'uomo vestito di rosso
- Japon : サンタさん、サンタクロース (Santa-San - « Monsieur Noël »), Santa Kurōsu
- Laponie : Juovlastállu
- Lettonie : Ziemassvētku vecītis
- Liban : Papa Noël (Arabe : بابا نويل « Baba Noel », du turc Noel Baba)
- Liechtenstein : Christkind
- Lituanie : Senis Šaltis ou Kalėdų Senelis (« Grand-père Noël »)
- Luxembourg : Kleeschen ou Krëschtkendchen
- Macédoine : Дедо Мраз / Dedo Mraz
- Madagascar : Dadabe noely / Dàdàbé nouéli
- Mongolie : Өвлийн өвгөн (Uvliin uvgun - « Grand-père de l'hiver »)
- Norvège : Julenissen
- Pays-Bas : Kerstman
- Pologne : Święty Mikołaj / Mikołaj (« Saint-Nicolas ») ; Gwiazdor dans certaines régions
- Portugal : Pai Natal
- République tchèque : Svatý Mikuláš (« Saint Nicholas »), Ježíšek (« Enfant Jésus »). Il apporte les cadeaux le soir du 5 décembre, la veille de ses vacances. Il donne souvent des fruits et des friandises aux enfants sages, des pommes de terre et du charbon aux vilains enfants
- Roumanie et Moldavie : Moș Crăciun (« Père Noël ») ; Moș Nicolae (« Père Nicolas ») ; Moș Gerilă
- Royaume-Uni : Father Christmas, Santa (Claus), Daidaín na Nollaig (Gaélique), Siôn Corn (Gallois) et Tas Nadelik (Cornique)
- Russie : Дед Мороз (Ded Moroz, « Papi Gel »)
- Sardaigne : Sardinia – « Babbu Nadale »
- Serbie : Дедa Мрaз / Deda Mraz (« Grand-père Gel »)
- Sri Lanka : « Naththal Seeya »
- Suède : Jultomten
- Suisse : Christkind ou Samichlaus (Allemand) / Père Noël (Français) / Babbo Natale (Italien) / Père Chalande (en langue arpitane: Canton de Genève et Savoie voisine)
- Syrie : Baba Noel, du turc Noel Baba
- Turkménistan : Aýaz baba (« Père Noël »)
- Turquie : Noel Baba (« Père Noël »), bien que les Turcs soient principalement musulmans, certains foyers perpétuent la tradition de « Noel Baba » et de l'arbre de Noël (ou de la nouvelle année).
- Ukraine : Svyatyy Mykolay ; Дід Мороз / Did Moroz
- Viêt Nam : Ông già Noel (« Le vieil homme de Noël
En Europe, les rituels liés à l’approche de l’hiver sont ancestraux.
Au Moyen Âge, l’Église catholique décide de remplacer les figures païennes par des saints.
Par le nom de « saint Nicolas », elle désigne Nicolas de Myre, un personnage qui vécut au IVe siècle au sud de la Turquie actuelle près d’Antalya, contemporain de la dernière vague de persécutions et du concile de Nicée, moment important du christianisme.
Le conservateur et responsable du département d’information numérique au Musée copte, Hani Zarif, affirme « Papa Noël, connu sous le nom de Santa Claus, est une vraie personnalité historique ». C’est l’évêque de Myre né vers la fin du IIIe siècle en Lycie, au sud de l’actuelle Turquie. Possédant un héritage important, il distribuait les cadeaux et la nourriture aux pauvres et aux familles modestes pendant la nuit, anonymement. Ainsi il tentait de récupérer le mythe du Santa Klaus scandinave laique à des fins religieuses. Ce qui n'aura de cesse pendant des siècles.
Lors des Croisades, au XIe siècle, sa dépouille est volée par des marchands italiens, mais ils laissent sur place un morceau de crâne et de mâchoire. Les reliques sont transférées à Bari, en Italie. Un chevalier lorrain aurait aussi récupéré une de ses phalanges et l’offrit à l’église de Port. Devenue lieu de pèlerinage, la ville est alors rebaptisée Saint-Nicolas-de-Port. Saint Nicolas devient le saint patron de la Lorraine. En 1477, le duc de Lorraine, René II, lui attribue sa victoire contre Charles le Téméraire[3]. Par la suite, sa légende sera reliée à la Nativité. Il deviendra dans presque toute la France « Papa Noël » soit « Père de la Nativité ».
Á Bari en Italie, la relique aurait produit des miracles. Selon une légende, il aurait ressuscité trois enfants découpés par un horrible boucher. Il est alors présenté comme le saint protecteur des tout-petits. C’est pourquoi, en sa mémoire, le 6 décembre de chaque année, principalement dans les pays d’Europe du Nord et de l’Est (notamment dans l’Est de la France en Alsace, à Metz, à Nancy et à Saint-Nicolas-de-Port), la coutume veut qu’un personnage, habillé comme on imaginait que saint Nicolas l’était (grande barbe, crosse d’évêque, mitre, grand vêtement à capuche), va alors de maison en maison pour offrir des cadeaux aux enfants sages. Au XVIe siècle, la légende du saint s’enrichit avec le personnage du père Fouettard qui punit les enfants désobéissants (selon certaines traditions, celui-ci serait en fait le boucher de la légende). En France, à partir du XIIe siècle également appelé, le vieux qui présidait ce cortège, est par la suite appelé « Noël ».
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Photographie de Jan Reurink reurinkjan
Photographe Chinois, passionné par le TIBET - Merci Jan
- 28 juillet 2014. Photo prise le :
- Qumong, Sichuan, Chine
- Nikon D3
NEW GENERATION TIBETAN
Sershul Tekchen Dargyeling སེར་ཤུལ་ ཏེཀ་ ཆེན་ དར་ གྱེ་ གླིང་ is an important monastery of the Gelukpa School, located 20 km west of Deongma, on the right side of the road. This is currently the largest monastery in Sershul county, with 1200-1300 monks divided into six colleges, under the guidance of the youthful but charismatic Drukpa Rinpoche. The rain retreat festival held in August is a magnificent spectacle, attracting nomad communities.
The hills and grasslands around the monastery are sparse and spacious. The complex was founded as a branch of Chunkor but soon outgrew the latter. The recently restored buildings at Sershul, which are all near the motor road, include the Tsokchen (assembly hall), the Jamkhang (Maitreya temple), the Gonkhang (protector temple), the Dewachen Lhakhang (Amitabha temple), the Mentsikhang (where Mipham Rinpoche`s tradition is maintained), the college, a Mani Wheel chapel (containing three wheels constructed by the father of the present Drukpa Rinpoche) and a small guesthouse. A new Tsongkhapa Lhakhang, resembling a giant cathedral, has been constructed below the main complex, and was due for completion and consecration on 12 December, 2008.
Founding (1349) > Geluk > Kadam (1349 - 1599)
བྱ་ཁྱུང་དགོན་ཐེག་ཆེན་ཡོན་ཏན་དར་རྒྱས་གླིང་།
> Jakhyung Gön Tekchen Yönten Dargyé Ling
> bya khyung dgon theg chen yon tan dar rgyas gling
places.kmaps.virginia.edu/features/22670The monastery of Jakhyung Shedrubling lies on a ridge overlooking the River Ma Chu (Yellow river). This is one of the most historic and renowned Gelukpa monasteries of Amdo, founded in 1349 by Lama Dondrub Rinchen, the teacher of Tsongkhapa. The attractive monastery is situated in a small forest zone.
A local small horse festivity, along the so called highway going north east, just 40 km outsite the city of Litang. Some brave and daring man and boys showing off their horseman skills. This pleasant encounter was in the county of Nyachuka.
Local festivals are part of nomadic traditions. Horseback riding competitions, Tibetan nomads are true masters in riding
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